blog.back.button
  • Coulisses

Bananes Bene Bono : c’est un grand oui de votre part !

Clémence Chevillotte

11 juillet 2022


Vous êtes 91% à vouloir sauver des bananes

Rappelez-vous ! Il y a quelques semaines, nous vous avions demandé quelle banane sauver du gaspillage. Le choix se portait sur deux types :

👉 Une banane bio UE, originaire des Antilles 🇫🇷 à 1,95€ l’unité* (prix équivalant à celui de bananes non françaises en magasin)

👉 Une banane bio non européenne, origine Côte d’Ivoire ou République dominicaine, à 1,68€ l’unité (équivalant à 32% de réduction par rapport à leur équivalent en magasin)

*Une unité équivaut à une main de bananes de 5 doigts

Merci à toutes et tous! Vous avez été 1118 à répondre attentivement à notre questionnaire et... la réponse est sans appel : 91% d’entre-vous souhaitent sauver les bananes, dont les ¾ en faveur des bananes d’Outre-mer 🇫🇷 !

Pourquoi ? Pour soutenir le commerce français pour certains, pour avoir la garantie d’un bio de qualité encadré par les normes françaises pour d’autres, pour le respect des normes sociales françaises, et aussi… “Par simple chauvinisme hahaha” (on cite, mot pour mot) pour 1 ou 2 d’entre-vous. Les raisons sont variées mais l’envie de sauver ces délicieuses bananes est commune !

Pour (re)découvrir l’aventure de co-création, c'est juste ici :)

Ok, mais comment ça marche ?

C’est officiel ! Vous pouvez désormais ajouter une main de bananes françaises sauvées du gaspillage à vos paniers !

Vous ne retrouverez jamais de bananes dans la composition initiale de votre panier, qui lui sera toujours 100% bio, de France métropolitaine et de saison (nous ne voulons pas imposer les bananes aux personnes qui n'en souhaitent pas).

Mais si vous souhaitez en recevoir, vous n'aurez qu'à les ajouter manuellement à votre panier hebdomadaire, comme un produit d’épicerie. Démonstration en images 👇


Je me laisse tenter

Un fruit qui mérite aussi d’être sauvé

Le gaspillage des bananes est un sérieux problème, notamment en amont de la chaîne de production. En effet, avant même d’avoir la chance d’être vendues dans les magasins, beaucoup de bananes sont jetées car elles ne correspondent pas aux standards esthétiques de la distribution. Pourtant, ces singularités n’entravent EN RIEN leur qualité, ni leur goût.

La banane est un fruit climactérique, c’est-à-dire qui continue à mûrir après la récolte. Cette caractéristique permet de récolter et de transporter les bananes au stade “vert”. Après avoir voyagé en bateau, elles arrivent donc en mûrisserie* : un endroit qui porte bien son nom, car il est dédié à faire mûrir les bananes, pour qu’elles deviennent consommables.

Et c’est là que la grande distribution, les primeurs et autres distributeurs traditionnels interviennent, en imposant à leurs fournisseurs le respect d’un niveau de coloration très précis, comme le montre l’échelle ci-dessous :

 

 

Et comme le mûrissage est un procédé naturel, la nature fait ce qu’elle veut ! Il arrive donc parfois que des bananes n’aient pas la couleur exigée (problème d'homogénéité, tâches). À cela, s'ajoute les (hélas) traditionnels standards de forme : une banane déformée ou doublée sera gaspillée.

On en est désormais convaincus : les bananes aussi méritent d’être sauvées !

Je veux sauver des bananes

discover.title

discover.first.subtitle

discover.first.description

discover.second.subtitle

discover.second.description

discover.third.subtitle

discover.third.description

button.baskets

newsletter.title

newsletter.description

newsletter.button

socials.title

socials.description

last.article.title

Eau : trop ou pas assez en Corse ?

En Corse, en plus d’être entourée d’eau, il pleut 8 milliards de mètres cubes d’eau chaque année. Alors peut-on vraiment manquer d’eau en Corse ? Nos producteurs développent des techniques ingénieuses pour optimiser chaque goutte, comme l’irrigation ciblée ou la création de microclimats, en plus d’explorer de nouvelles solutions de stockage 💧 Découvrez : le rôle crucial de l’eau dans une agriculture durable.

La Corse, une longue histoire de catastrophes (sécheresses, inondations, champignons…), ou pas !

Entre sécheresses, inondations, et maladies comme les champignons, les agriculteurs corses affrontent de multiples défis climatiques et environnementaux. Focus : Comment les nouvelles variétés et les techniques adaptées permettent de résister face à ces bouleversements.

Corse : le pari de la diversification ?

Passer d’une monoculture de clémentines à une diversité de fruits, voici un autre pari fou. Avocats, litchis, mangues… Les agriculteurs corses explorent de nouvelles cultures exotiques, adaptées à leur terroir, plus rapides, moins fragiles et moins demandeuses d’eau ! Objectif : produire toute l’année et se concentrer sur les fruits qui fonctionnent ! En avant-première : Les fruits tropicaux produits en France ! Une promesse locale et exotique. 🥑🍊